
Pourquoi je ne recrute plus de moches (et ce que ça dit sur ton business)
Je ne vais pas te mentir.
Ce podcast, je l’ai enregistré dans ma cuisine.
Pas dans un studio. Pas dans un décor Instagrammable.
Juste moi, mon casse-dalle, et une vérité que j’avais besoin de sortir.
Parce que ce que je m’apprête à te dire va peut-être te déranger.
Ou te réveiller.
Peut-être les deux.
J’ai recruté plus de 700 salariés en CDI.
Dans 9 pays.
Pendant que je scalais plusieurs boîtes en parallèle.
Et à force de recruter, former, virer, recommencer, scaler, tomber, puis reconstruire…
j’ai fini par voir des choses que peu de gens osent dire à voix haute.
Des vérités inconfortables.
Des lois invisibles que personne ne t’enseigne.
Des erreurs que j’ai payées très cher.
Ce que tu vas lire ici, c’est tout sauf une théorie RH.
C’est ce que j’ai appris à la dure, sur le terrain.
Et si t’es en train de faire grossir ton équipe, ton business, ta marque…
tu vas vouloir lire ça jusqu’au bout.
Ce que personne ne t’a dit sur le recrutement
Quand on parle de recrutement, tout le monde te parle d’outils, de process, de culture d’entreprise.
Mais personne ne te dit la vérité.
La vérité, c’est que recruter, c’est douloureux.
Et que plus tu veux scaler, plus tu dois apprendre à faire des choix difficiles.
J’ai recruté plus de 700 personnes.
Pas des freelances en remote sur Upwork.
Des vrais gens. En CDI. Avec des bureaux, des responsabilités, des visages, des humeurs.
J’ai dû gérer des setters, des closers, des assistants, des coachs, des vigies qualité, des vendeurs à la chaîne…
Et pour être honnête : 90% d’entre eux, je savais qu’ils n’allaient pas rester.
Mais je les prenais quand même.
Pourquoi ?
Parce que quand tu fais entrer 100 000€ par mois, que tu dois tout livrer, que tes équipes se barrent, que t’as du turnover à la semaine…
tu n’as pas le luxe d’attendre la “bonne personne”.
Tu dois faire entrer du monde. Vite. Tester. Virer. Remplacer. Recommencer.
Tu veux une image ?
C’est pas une cérémonie de mariage.
C’est une usine à feu où tu lances des seaux d’eau en espérant que certains éteignent vraiment.
🎧 Et si tu veux m’entendre raconter tout ça à chaud, dans ma cuisine,
tu peux écouter le podcast ici :
Et crois-moi, ce que je te dis dans ce podcast,
aucun DRH ne te le dira en conférence.
Ton équipe doit être remplaçable (et c’est pas froid de dire ça)
Je vais te dire un truc que peu de dirigeants osent assumer :
Si tu construis une équipe de personnes irremplaçables, tu crées une prison.
Et j’ai fait cette erreur.
Quand tu débutes, tu crois que ton rôle c’est d’être un bon boss.
De faire confiance. De créer une ambiance. De trouver des pépites et de les “garder à vie”.
Mais quand tu passes à l’échelle, que tu dois faire entrer 50K, 100K, 200K de chiffre par mois,
tu ne peux plus dépendre de l’humeur d’un tel, ou de la fidélité d’un autre.
La vérité ?
Plus ton business grandit, plus tu as besoin de process.
Et plus tu crées de process, plus tu dois faire en sorte que les gens deviennent remplaçables.
Pas parce qu’ils sont inutiles.
Mais parce qu’un business sain ne devrait jamais être menacé parce que quelqu’un en a marre de toi un mardi matin.
J’ai vu trop de CEOs paralysés par leurs propres équipes.
Des collaborateurs devenus toxiques. Des business bloqués parce qu’un seul mec “gère tout”.
Tu veux que ton business soit solide ?
Fais en sorte que chaque poste puisse tourner.
Pas dans une logique de méfiance.
Mais dans une logique de résilience.
“Ils sont censés soulager ton business,
pas le menacer s’ils ont mal au cul un lundi.”
Ouais, c’est cru.
Mais c’est réel.
Et c’est à partir de ce moment-là que j’ai compris :
Je devais arrêter de chercher des gens magiques.
Je devais construire un système dans lequel chacun s’intègre.
Et que si quelqu’un sort du jeu, le jeu continue.
Quand je me suis mis en costard pour eux, pas pour moi
Au début, je venais bosser en débardeur.
En tong.
Parce que c’était moi. Parce que j’étais à l’aise. Parce que j’étais le boss, et que personne n’allait me dire comment m’habiller.
Mais un jour, j’ai réalisé un truc.
Je regardais mes employés.
Les mecs se mettaient sur leur 31.
Les nanas s’apprêtaient. Ils venaient tirés à quatre épingles.
Pas pour un client.
Pas pour une présentation.
Juste pour honorer leur poste.
Et moi ?
J’arrivais en mode je-m’en-foutiste, comme si je passais entre deux séries Netflix et un squat au sol.
Et là, j’ai compris.
Je manquais de respect à mon équipe.
Pas volontairement.
Mais symboliquement.
Alors j’ai changé.
Je me suis mis à m’habiller.
Pas pour paraître.
Mais pour incarner.
Parce qu’un vrai leader, ce n’est pas celui qui fait ce qu’il veut.
C’est celui qui montre l’exemple, même quand il en a pas envie.
“Je me suis mis en costard pour eux. Pas pour moi.”
Et tu sais ce qui s’est passé ?
L’ambiance a changé.
Le respect s’est renforcé.
Le rythme s’est aligné.
À partir de ce moment-là, j’ai assumé :
Mon rôle, c’est pas de me sentir bien.
Mon rôle, c’est de créer un standard.
Et de le tenir, visuellement aussi.
Pas besoin de Dior.
Pas besoin de Rolex.
Mais une posture claire. Une présence nette.
Un code qui dit :
“On n’est pas là pour rigoler. On est là pour construire.”
Pourquoi je recrutais des gens beaux (et ce que ça veut vraiment dire)
On va rentrer dans le dur.
Et je sais que ce que je vais dire ici peut être mal compris.
Mais je m’en fous.
Parce que c’est la vérité.
Et surtout : c’est utile.
Pendant longtemps, j’ai recruté des gens beaux.
Pas parce qu’ils sortaient de Vogue ou de GQ.
Mais parce que j’ai fini par comprendre un truc fondamental :
Être beau, ce n’est pas un privilège. C’est une posture.
Être beau, c’est prendre soin de toi.
C’est arriver coiffé, propre, net.
C’est parler avec clarté.
C’est t’exprimer avec confiance.
C’est respirer l’intention.
C’est envoyer un signal clair au monde :
“Je me respecte. Donc tu vas me respecter aussi.”
Et ça, en vente, en coaching, en leadership, ça change tout.
Tu peux dire ce que tu veux, mais les humains jugent.
Et la première chose qu’ils voient, c’est toi.
Tes yeux.
Ton énergie.
Ta façon de te tenir.
Et si t’es négligé, éteint, flou…
Tu peux être le plus compétent du monde, on ne t’écoutera pas.
Alors ouais, j’ai fini par le dire :
“Être moche est un choix.”
Pas moche au sens facial.
Mais moche dans l’attitude.
Moche dans le laisser-aller.
Moche dans le “je m’en fous”.
Et si tu veux scaler un business,
tu ne peux pas te permettre d’avoir une équipe qui s’en fout.
Je ne recrute pas des mannequins.
Je recrute des gens qui choisissent d’être rayonnants.
Parce que si t’es pas capable d’élever ton image,
comment tu vas élever mon entreprise ?
L’impact business de la beauté, du charisme et de la posture
Tu sais ce que je regardais dans les recrutements ?
Je demandais toujours une photo.
Et tu sais pourquoi ?
Parce que c’était data-driven.
Pas un jugement, pas une discrimination. Juste un fait :
les gens beaux performent mieux.
Et quand je dis beaux, je parle pas de physique.
Je parle pas de mâchoire carrée ou de taille mannequin.
Je parle d’attitude.
Des gens qui prennent soin d’eux.
Qui ont une énergie.
Qui savent se tenir.
Qui savent s’exprimer.
Qui ont bossé leur mental, leur langage, leur posture.
Être beau, c’est pas un cadeau.
C’est un choix.
Moi j’avais des cernes.
Aujourd’hui j’ai des facettes.
J’ai été gros. J’ai maigri.
J’ai regrossi. J’ai reperdu.
Et les meufs aujourd’hui, avec le maquillage, le botox, l’acide hyaluronique, elles ont encore plus de leviers que nous.
Donc quand quelqu’un reste “moche”…
Souvent, c’est qu’il s’y autorise.
C’est qu’il a renoncé.
Et ça, c’est un signal que je ne veux pas dans mon équipe.
Parce que si t’es bloqué sur toi,
tu vas bloquer le business.
Et surtout : je veux être entouré de gens qui évoluent.
Qui progressent.
Qui se transforment.
Pas qui se contentent.
Être moche, c’est un état d’esprit figé.
Et moi, je veux des gens qui bougent.
Et je vais même aller plus loin.
Dans la vente, dans le marketing, dans le closing,
la beauté, c’est un cheat code.
Alors ouais, y’a toujours des exceptions.
Y’a des gens moches qui vendent.
Mais statistiquement…
les plus beaux, les plus charismatiques, les plus rayonnants…
sont aussi ceux qui cartonnent.
Et ça, c’est pas une opinion.
C’est ce que j’ai vu. Encore et encore.
Une vérité qui dérange, mais que je devais sortir
Donc voilà pourquoi, grosso modo,
je recrutais que des beaux.
Et cette vidéo, c’est la première fois que je le dis aussi franchement.
Et encore…
j’ai beaucoup, beaucoup d’autres choses à dire sur le recrutement.
Notamment ce que j’ai vécu en France.
Et même au Maroc, ou ailleurs.
Parce que les dynamiques d’équipe, les codes sociaux, les signaux invisibles…
ça change selon les pays, les contextes, les cultures.
Et crois-moi, personne ne parle de ça sérieusement.
Tu veux la suite ?
Tu veux qu’on parle de l’onboarding, du suivi, du licenciement ?
Commente-le.
Et si t’as aimé cette version brute, directe, filmée sans filtre ni décor fake…
📺 Tu peux regarder la vidéo complète ici :
C’est pas un tutoriel.
C’est pas un épisode de storytelling bien lissé.
C’est juste la vérité.
Sortie comme elle vient.
Et si t’es entrepreneur, formateur, coach, consultant,
y’a des chances que ça résonne très fort chez toi.
Conclusion
Tu peux être en désaccord.
Tu peux être choqué.
Tu peux même être énervé.
Mais si tu regardes honnêtement ton business, ton équipe, ton image…
y’a forcément un moment où tu vas te reconnaître.
Parce que ce que je partage ici, c’est pas du théorique.
C’est ce que j’ai vu. Ce que j’ai vécu. Ce que j’ai répété.
Encore. Et encore.
Et aujourd’hui, je préfère être tranchant,
que rester flou.
Je préfère que tu m’aimes ou que tu me détestes,
plutôt que de te laisser indifférent.
Si t’as envie de réagir :
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